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Vendredi 4 avril 5 04 /04 /Avr 21:27

Vendredi 4 avril - 11 hDSC00146.JPGeures.

Le printemps radouci l'atmosphère et les arbres sont en fleurs. Je suis réveillé depuis une bonne heure mais ma chienne flemmarde dans le lit. Je la regarde sommnoler. Son visage est tranquille, et j'aperçois au travers des draps qu'elle a obéit à mes ordres: elle dort avec ses talons et a gardé sur son visage et ses seins les traces de sperme que j'ai craché sur elle hier au soir. "Je garde ton jus sur moi ça me rend plus belle" m'a-t-elle chuchoté à l'oreille avant de s'endormir.

Je bois une tasse du café qu'elle a préparé la veille en observant les vas et vients dans la rue. J'ai la trique comme souvent le matin. Oh! pas une trique d'enfer comme celle que me procure Melissa quand elle me supplie de lui donner sa giclée quotidienne de foutre, mais une petite trique, tranquilloute, gentillette.

Effet du printemps qui pointe son nez et chauffe ma libido, je m'approche d'elle et fourre ma queue dans sa bouche. Elle ouvre les yeux surprise mais en bonne vide-couille, commence à sucer et aspirer l'engin.

Je la prend par les cheveux pour mieux la baiser par la bouche. Je lui lime sa bouche et lui explose rapidement dedans. Avant d'avaler, elle ouvre grand sa bouche pour me montrer la dose de foutre qu'elle a reçu. Fin du premier acte.

Melissa est heureuse et se maquille dans la salle de bain. Remplie d'une bonne giclée matinale elle se sent femelle et soumise et elle aime ça.

- Tu vas t'habiller en pute aujourd'hui, lui ordonnais-je. Et pas de culotte pour être prête à tout instant.

- Oui Maître, je t'obéis...

- Tu as aimé la bonne giclée ?

- J'ai ADORé, Maître et j'en veux encore.

- Je vais t'en donner du jus de couilles ma belle, mais d'une autre paire de couilles que les miennes qui sont vides pour le moment.

Nous sortons. Ma soumise est belle, bien maquillée, très aguichante dans sa petite robe bleue et ses talons de pute. Nous nous installons à une table de café.

- Tu veux du sperme chienne soumise? lui demandais-je?

- Tu as déjà rechargé tes couilles ? s'étonne-t-elle. Oh oui donne moi encore de ton merveilleux jus qui me rend tellement pute, me répond-elle, telle une chatte minaudante et en me caressant discrètement l'entre-jambe.

- Non, tu les as vidées tout a l'heure, mais tu vas avaler le foutre du jeune homme qui est assis à la table là-bas, à côté du comptoir. Je t'ordonne de lui faire une pipe comme une vulgaire pute à 30 euros.

Melissa se lève et s'approche du mec. Je la vois discuter avec lui, et je m'impatiente car j'ai le sentiment que la conversation s'éternise. Au moment où je commande un second café j'aperçois Melissa qui se lève de son siège et se dirige vers les toilettes. Au passage elle me jette un clin d'oeil qui m'indique que l'affaire est en bonne voie. L'homme se lève à son tour quelques minutes plus tard et s'enferme dans les chiottes du bar. La scène me fait légèrement bander. En tout cas elle m'excite. J'imagine ma pute en train de sucer le dard de cet inconnu, avec fougue et application. Les minutes passent et enfin le mec ressort des toilettes. Le leger sourire qui illumine son visage en dit assez sur son contentement. Une fois encore Melissa a su satisfaire une queue comme elle sait si bien faire.

- Alors putain soumise, tu lui as bien vidé les couilles à ce salaud ?

- Oui mon Maître, je l'ai sucé bien à fond. Il a vite jouit. Il m'a craché dans la bouche, sur le visage et sur les seins.

- Je ne vois pas de trace de son foutre, tu t'es essuyée?

- Oui Maître, le seul jus que je garde c'est le tien, répond-elle en prenant son air de chienne battue soumise qui prend conscience qu'elle a dérogé aux ordres de son Maître.

- Tu seras punie pour avoir fait ça. N'oublie pas que tu dois demander à ton Maître s'il veut que tu gardes ou pas le foutre qu'on gicle sur toi.

- Je te demande pardon Maître. Tu me puniras comme tu le désires. Je t'appartiens Maître, je suis ton esclave soumise, tous mes trous t'appartiennent et je suis ta putain vide-couilles, me supplie-t-elle.

Melissa est toujours comme ça quand elle se sent en faute, elle tente d'ammadouer son Maître en le flattant. Le Maître est sévère certes, mais juste. Et puis l'air printannier l'incite à la clémence. Mélissa, culpabilisant à mort, poursuit sa tentative de défense. Elle sait ce qu'elle risque pour avoir refuser de garder du jus de couilles sur son visage et ses seins : être attachée et fessée plusieurs heures par terre, les cuisses écartées avec un gros gode dans sa chatte, un gros plug dans son cul et un autre dans la bouche.

- J'aime ton foutre, j'en veux Maître chéri, je veux que tu me remplisses de sperme pour me soumettre. Je veux être soumise par toi...J'appartiens à ta queue, je suis ta négresse soumise, ta salope, ta chienne, ta pute vicieuse, ton vide-couille, ton objet, ton esclave, ta cochonne, ta putain, j'ai besoin du jus de tes couilles pour exister, me chuchotte ma pute à l'oreille pour apaiser ma colère.

Nous sortons du bar. Le mec nous regarde nous éloigner avec l'air bovin de quelqu'un qui ne comprend pas bien encore ce qui lui est arrivé. Ma soumise, me prend le bras, inquiète.

- Tu vas me punir Maître? demande-t-elle.

- Tu mérites une punition, tu le sais chienne, mais je serai clément pour cette fois ci.

- Que vas-tu me faire? s'inquiète-t-elle.

- Je ne sais pas encore exactement mais je pense que tu mérites un traitement particulier. Je vais réfléchir mais déjà, je t'ordonne de te mettre un plug dans le cul, et un gros. Ca te rappelera ta condition de pute esclave qui doit obéir.


Profitant de la discrétion que nous offre un porche d'habitation, je soulève la robe de ma pute et lui enfonce sans ménagement dans son petit trou le plug anal de bonne taille qu'elle garde toujours dans son sac. La belle gémit sous l'assaut mais ne résiste pas. Le petit trou se dilatte, s'écarte largement puis se referme sur la partie étroite du gode. L'anus est bien dilaté mais on ne distingue plus que l'extrémité rose diamant du plug qui lui ouvre le cul. Elle se relève et dans un grand sourire, me prend le bras.

- Je le sents bien dans mon cul. Je me sents bien soumise et j'aime ça. Merci Maître chéri.

Ma soumise me claque un french kiss baveux puis demande.

- Maître, tu veux bien m'acheter une nouvelle robe?

Par Rhem - Publié dans : sexe
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